Dans le petit village de Domeabra, dans l'ouest du Ghana, le paludisme ne serait plus qu'un mauvais souvenir, d'après les habitants. Un insecticide troisième génération a fait son apparition et a permis d'endiguer l'épidémie.
À Domeabra, dans l'ouest du Ghana, l'employé de l'ONG Agamal est attendu comme le messie. Dans son réservoir, un insecticide d'un genre nouveau pour venir à bout du paludisme, une épidémie qui a infecté près de 5 millions de personnes et provoqué 600 décès en 2017. "Avant, les adultes devaient se rendre à l'hôpital ravagés par la fièvre. Et les enfants souffraient de convulsion", témoigne Nana Otaa Prempeh, habitant de Domeabra.
Pour endiguer l'épidémie, le pays a autorisé un insecticide de troisième génération.
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