Imaginez que vous êtes responsable de l’aménagement du territoire dans un pays tropical. Comment décidez-vous si une zone doit être utilisée pour produire de la nourriture, si elle doit être conservée pour sa diversité biologique ou protégée pour ses services écosystémiques (tels que le contrôle de l’érosion ou la pollinisation) ?
Les critères classiques pour mesurer la valeur des services écosystémiques négligent les nuances entre des paysages tropicaux très variés, affirment les chercheurs.
Ils sous-estiment en particulier la valeur économique des lieux hébergeant une grande biodiversité et qui sont souvent loin des zones habitées, selon une nouvelle étude publiée dans la revue Biological Conservation...
Source : CIFOR
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