Le ministre de l'Education nationale et de l'alphabétisation, le Pr Stanislas OUARO a présidé la revue annuelle de performance 2017 du Cadre Sectoriel de Dialogue Éducation et Formation (CSD/EF) du Plan national de développement économiques et social (PNDES). C'était en présence du secrétaire d'Etat chargé de la recherche scientifique et de l'innovation, du directeur de cabinet du Ministère en charge de la jeunesse, et du représentant du chef de file des partenaires techniques et financiers.
Les acteurs des 3 ministères : le Ministère de l'Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de l'Innovation (MESRSI), le Ministère de l’Education Nationale et de l’Alphabétisation (MENA), et le Ministère de la Jeunesse, de la Formation et de l'Insertion Professionnelles ( MJFIP ) qui forment le secteur de planification ?Éducation et Formation ?ont travaillé durant l'année 2017 pour relever les défis de la mise en œuvre du PNDES dans leur domaine respectif.
Pour le ministre OUARO qui a présidé les travaux, le temps était venu de faire une halte pour analyser les résultats obtenus en termes de forces et de faiblesses et de proposer des solutions de remédiation.
La présentation du rapport 2017 de performance et les échanges qui en ont découlé ont fait ressortir des acquis dans l'accès et la qualité allant du préscolaire à l'université en passant par la formation professionnelle.
En 2017, on a noté un accroissement des effectifs des élèves, des enseignants et des encadreurs pédagogiques dans tous les ordres d'enseignement. A cela s'ajoute la réalisation d'infrastructures éducatives tant pour la résorption des salles sous paillotes que pour accompagner cette croissance des effectifs. Au titre des réalisations pour le compte du PNDES, il faut souligner l'ouverture des 2 lycées scientifiques, la construction des collèges d'enseignement technique, le lancement des travaux de construction de l'université Ouaga II et l'érection en universités de certains centres universitaires.
Ainsi sur l'ensemble des activités programmées, le dispositif de suivi à enregistré un taux d'exécution physique de 61,75% pour un taux d'exécution financière de 56,61%.
Aux termes des travaux, le ministre OUARO a remercié les uns et les autres pour les performances réalisées et leurs contributions qui ont enrichi le rapport annuel adopté à l'unanimité des participants.